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La Tunisie se distingue au Salon Gulfood 2022

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La Tunisie participe pour la 16ème fois consécutive au Salon International de l’Agroalimentaire « Gulfood » qui se tient à Dubai du 13 au 17 Février 2022. Ce salon enregistre la participation de plus de 3000 exposants en provenance d’une centaine de pays avec un total de 85 pavillons nationaux.


 


L’offre du salon est répartie sur 8 thèmes sectoriels, à savoir les boissons, les produits laitiers, les céréales, les cuisines du monde “World Food”, les huiles et graisses “Fats & Oils”, les grandes marques, les produits de santé et de bien-être et les viandes et volailles.


 


Le premier jour du salon a été marqué par un grand nombre de visiteurs ce qui augure des perspectives prometteuses pour cette édition.


 


La participation de la Tunisie au Gulfood 2022 s’est distinguée par l’augmentation de la superficie d’exposition du pavillon national avec un total de 447 m2 regroupant 44 entreprises dont 32 d’entre elles exposent sur le Pavillon géré par le CEPEX dans la section “World Food” et 12 exposants d’huile d’olive sur le pavillon géré par le PACKTEC dans la section “Fats & Oils”.


 


L’offre tunisienne lors de cette édition du salon est particulièrement diversifiée et représente différentes filières à savoir les dattes, l’huile d’olive, les huiles végétales, les margarines, les pâtes et les conserves alimentaires, les confiseries, les biscuits, les confitures, les fromages ainsi que les produits de la pêche et le café.


 


Les exportations tunisiennes vers les Émirats Arabes Unis ont enregistré une hausse de 51% au cours de l’année 2021 et ont atteint 256.6 millions de dinars dont 80.9 millions pour les produits agricoles et agroalimentaires soit 32% du total des exportations tunisiennes vers les Emirats Arabes Unis. 


 

Forum d’affaires UE-Afrique Le Forum d’affaires UE-Afrique (du 14 au 18 février 2022).

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Le Centre UE-Japon pour la coopération industrielle organise, en collaboration avec le réseau Enterprise Europe Network (EEN) et en partenariat avec EEN Tunisie dont le Cepex est l’administrateur national, une nouvelle édition du Forum d’affaires UE-Afrique (du 14 au 18 février 2022).


 


Cet événement virtuel de mise en relation B2B facilite la connexion entre les entreprises européennes, japonaises et africaines pour des projets trilatéraux conjoints en Afrique.


 


Les entreprises ayant une expérience préexistante avec l’Afrique ou avec des projets concrets ciblant les marchés africains sont invitées à rejoindre ce matchmaking B2B afin de trouver de nouveaux partenaires commerciaux potentiels pour leurs projets en Afrique.


 


Admissibilité pour les entreprises tunisiennes :


 


Les participants doivent :


 


  • Être une entreprise dont le siège est en Afrique ;

  • Avoir une expérience préexistante avec des partenaires internationaux (idéalement européens et/ou japonais);

  • Avoir un projet concret dans le pipeline nécessitant des partenaires internationaux ;

  • Rechercher des partenaires européens et japonais pour des projets communs en Afrique ;

  • Avoir du personnel dans un poste de direction qui peut assister au jumelage et qui peut parler anglais.


 


Pourquoi participer?


 


  • Vous trouverez des partenaires engagés et des réunions virtuelles sur-mesure;

  • Développez votre réseau d’entreprises;

  • Partagez votre expérience avec des contacts commerciaux internationaux;

  • Gardez un œil sur les tendances du marché et identifiez les innovations technologiques.


 


Nous vous informons que l’inscription et la participation est gratuite mais obligatoire via ce lien : 


 


 


En cas de besoin d’assistance technique ou informations supplémentaires, prière de contacter :


 


M. Mehdi Ben Ghedhifa


Coordinateur du Cepex pour le projet EEN


Tél : 71 130 320 Extension: 1705 


Email : MBENGHEDHIFA@tunisiaexport.tn 

Nos partenaires export

Nos sponsors  

Qatar Matchmaking Event 2022 Qatar Matchmaking Event 2022 est un événement virtuel organisé par EEN Qatar / Qatar Development Bank du 22 février au 24 février 2022

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Qatar Matchmaking Event 2022 est un événement virtuel organisé par EEN Qatar / Qatar Development Bank dans le cadre des services Tasdeer en partenariat avec le ministère du Commerce et de l’Industrie du Qatar, visant à rassembler les meilleures entreprises et distributeurs pour discuter et développer de futurs partenariats avec des entreprises internationales.


 


L’événement de matchmaking se concentrera sur la sensibilisation à propos des capacités de fabrication au Qatar et permettra aux entreprises internationales de s’associer aux principaux fabricants de ce pays. L’événement concernera les secteurs suivants: 


  • BTP, matériaux de construction, et équipements électriques

  • Plastique et emballage

  • Industrie papetière

  • Industries chimiques

  • Produits de grande consommation

  • Produits alimentaires et boissons

  • Services TIC

  • Industries pharmaceutiques


Pour information et inscription, prière de visiter le site suivant :


 


 


La participation est gratuite


 


Nous restons à votre disposition pour toutes informations complémentaires.


 


Contact :


 


M. Mehdi Ben Ghedhifa


Coordinateur du Cepex pour le projet EEN


Tél : 71 130 320 Extension: 1705 


Email : MBENGHEDHIFA@tunisiaexport.tn 

Nos partenaires export

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Midest Global Industrie Paris Nord Villepinte, du 17 au 20 Mai 2022

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Participation de la Tunisie au salon « Midest Global Industrie »  A Paris du 17 au 20 Mai 2022


 


 


Dans le cadre de son programme annuel des foires et salons au titre de l’année 2022, Le CEPEX, Centre de Promotion des Exportations, organise la quatrième participation officielle Tunisienne au plus grand évènement international de l’industrie «Midest – Global Industrie»  qui se tiendra à  Paris Nord Villepinte, du 17 au 20 Mai 2022.


 


Son positionnement résolument moderne orienté à la fois vers l’industrie du futur et l’international explique le succès rencontré par ses précédentes éditions qui se déroulent les années paires à Paris et impaires à Lyon. Une diversification géographique qui permet d’enrichir tant son offre que son visitorat.


 


Aux côtés de 230 exposants répartis sur 100 000 m2 d’exposition, le pavillon Tunisien, d’une superficie de 108 m2, sera situé dans le hall dédié aux pays et régions.


 


L’offre du salon est représentée à travers une sectorisation autour de plusieurs univers dévoilant à la fois équipements et savoir-faire : Assemblage, montage, fixations industrielles , Smart : digitalisation, automatisation, mécatronique Électronique, Fabrication additive & 3D,  Finition & traitements des matériaux,  Forge & fonderie,  Matières & produits semi-finis,  Mesure, contrôle, vision, instrumentation,  Plasturgie, caoutchouc, composites,  Régions & pays .


 


Pourquoi participer au salon Midest – Global Industrie 2022?


 


En exposant à Global Industrie 2022, le rayonnement et les attraits de Paris, capitale et symbole de la France à travers le monde permet :


  • La possibilité d’exposer auprès de vos concurrents et néanmoins confrères dans l’un des 15 univers représentatifs de l’industrie.

  • Rencontrer en même temps près de 40 000 visiteurs pour autant de prospects potentiels.

  • Rencontrer tous les grands marchés utilisateurs à savoir, transports, énergie, agroalimentaire, chimie, cosmétologie & pharmacie, mécanique…

  • Après cette crise, il est primordial de montrer que vous êtes plus que jamais présents

  • nclus dans votre participation en tant qu’exposant, l’accès à la plateforme exceptionnelle Industrie Online vous permettra de présenter votre catalogue entier de produits à l’ensemble de la base de données Global Industrie / SEPEM, soit 400 000 contacts.


Les entreprises tunisiennes intéressées par la participation dans ce salon sont invitées à nous renvoyer (exclusivement par email sur les adresses suivantes : Lbenjemaa@tunisiaexport.tn ;  saroussi@tunisiaexport.tn) le formulaire de participation  dûment  rempli, au plus tard le 28 Février 2022.


 


Après validation par le CEPEX des demandes de participation, les entreprises retenues seront appelées à procéder au paiement du forfait de participation d’un montant de 7.500 DT (sept   mille cinq cents Dinars). 


 


Le forfait de participation sera majoré de 15% pour les exposants qui auront un stand à angle suite à la répartition des stands par tirage au sort, qui aura lieu ultérieurement.


 


L’allocation de stand supplémentaire est tributaire de disponibilité d’espace. A noter que le forfait pour les stands supplémentaires est sujet d’une majoration de 50%.


 


Par ailleurs, nous nous réservons le droit de clôturer le recrutement des exposants tunisiens avant la date butoir (le 28 Février  2022) dès que le nombre limite d’exposants confirmés est atteint.


 


Info. Contact :


Mme. Sonia AROUSSI


Tél : 71 130 320 (poste 1613)


 


 


 

La CEA élabore un projet pour rendre opérationnelle la ZLECAf dans 8 pays

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Un nouveau projet visant à aider huit pays à rendre opérationnelle la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) qui vient d’être lancé, à l’initiative de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA), la Société internationale islamique de financement du commerce (SIFC) et le Cadre intégré renforcé (CIR).

Le projet soutiendra la mise en œuvre de plus de 30 activités dans les stratégies de la ZLECAf en Tunisie, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Guinée, en Mauritanie, au Niger, au Sénégal et au Togo, a indiqué la CEA dans un communiqué publié samedi 12 mars 2022.

” En aidant à la mise en œuvre des actions prioritaires formulées par la CEA, le projet contribuera à créer un environnement où le commerce peut être plus efficace et inclusif dans les huit pays bénéficiaires. A la fin du projet, leur capacité aura été renforcée en vue de résultats tangibles, tels que des emplois et d’autres opportunités économiques “, a encore précisé la Commission.

La sous-secrétaire générale des Nations unies et secrétaire exécutive de la CEA, Vera Songwe, a souligné que “ce nouveau projet peut potentiellement faire passer les niveaux de commerce régional de 18% à 25% en une décennie. Avec une mise en œuvre appropriée, cela pourrait également conduire à une diminution de 10 milliards de dollars des importations en provenance de l’extérieur du continent, tout en stimulant les exportations agricoles et industrielles jusqu’à 45 milliards de dollars (7%) et 21 milliards de dollars (5%) par an”.

Pour sa part, le directeur général de la SIFC, Eng Hani Salem Sonbol, a indiqué que “nous sommes conscients de l’importance de faciliter le commerce par des interventions de financement et de développement du commerce. Depuis 2008, la SIFC a fourni environ 61 milliards de dollars, dont 30 milliards de dollars à l’Afrique. En outre, nous soutenons la mise en œuvre des stratégies nationales de la ZLECAf dans nos pays membres en harmonisant les codes douaniers avec les nouvelles dispositions tarifaires, en appliquant les règles d’origine et en formant les parties prenantes nationales de la ZLECAf”.

La ZLECA vise à mettre en place un cadre commun et un ensemble de normes à travers le continent africain afin d’assurer la coopération, l’harmonisation et l’efficacité du commerce. Il est entré en vigueur le 30 mai 2019, pour les 24 pays qui ont déposé leurs instruments de ratification à cette date. La phase opérationnelle a été lancée le 7 juillet 2019.

La zone devrait stimuler le commerce intra-africain et avoir des effets d’entraînement positifs sur le commerce entre les pays africains les moins avancés.

La Tunisie a ratifié le 22 juillet 2020 la convention relative à la ZLECAf, qui vise à créer la plus grande zone de libre-échange au monde ayant le potentiel de rassembler plus de 1,2 milliard de personnes avec un PIB de plus de 2 500 milliards de dollars.

La Tunisie réalise un excédent commercial avec l’Italie de 93 MDT pour la première fois depuis 10 ans

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La balance commerciale entre la Tunisie et l’Italie a enregistré, en 2021, un excédent en faveur de la Tunisie pour la première fois depuis 10 ans, de à 93 millions dinars (MDT), contre un déficit de l’ordre de 798 MDT en 2020. C’est ce qu’a fait savoir, vendredi 18 février 2022, l’ambassade de Tunisie à Rome.

Le taux de couverture s’est ainsi situé à 101,09% en 2021, contre 89,09% en 2020.

Les échanges commerciaux entre les deux pays ont progressé de 23,1%, s’établissant à 17,048 milliards en 2021 contre 13,840 milliards en 2020.

Les exportations tunisiennes vers l’Italie ont remarquablement évolué en 2021 pour se situer à 8,571 milliards de dinars contre 6,521 milliards de dinars en 2020, soit une progression de 31,5%.

Cette évolution est expliquée par l’ambassadeur de Tunisie à Rome par l’augmentation des exportations des secteurs des industries mécaniques et électriques et de l’industrie du textile/habillement, cuir et de la chaussure grâce à la reprise de l’activité économique et l’augmentation de la demande sur les marchés européens et mondiaux avec la régression de la pandémie du coronavirus.

Tunisie : Le Conseil national du commerce extérieur au secours du secteur de fabrication des minibus

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Instaurer de mesures de sauvegarde à l’importation en faveur du secteur de fabrication des minibus, c’est ce que recommande le Conseil national du commerce extérieur, réuni lundi 14 février 2022 à distance, en session extraordinaire sous la présidence de la ministre du Commerce et du Développement des exportations, Fadhila Rebhi.

Instaurées pour la première fois depuis la promulgation de la loi n°98-106 du 18 décembre 1998, relative aux mesures de sauvegarde à l’importation, ce mesures devraient être mises en application à travers la promulgation des textes juridiques nécessaires dans les plus brefs des délais, indique un communiqué du ministère du Commerce.

Cette recommandation a été adoptée suite à une enquête présentée lors de la réunion du conseil, laquelle enquête a dévoilé le lien entre l’intensification de l’importation et l’impact négatif ressenti par le secteur d’industrialisation des minibus.

Le Conseil a également examiné les résultats du commerce extérieur pour l’année 2021, qui a connu une croissance de 20,5% des exportations et de 22,2% des importations, ce qui a aggravé le déficit commercial de 27,1% et décidé d’engager les mesures nécessaires pour atténuer ce déficit en rationalisant les importations et en renforçant les exportations.

Il a, par ailleurs, étudié les amendements proposés concernant la loi n° 94-41, relative au commerce extérieur. Ces amendements visent à combler le vide juridique dans certains domaines à l’instar de l’enregistrement des exportateurs étrangers et à supprimer certaines dispositions au sujet desquelles des textes spéciaux ont été émis.

A cet égard, le conseil a recommandé d’impliquer toutes les structures concernées et le secteur privé dans ce projet d’amendement de la Loi en question.

Maîtrise du déficit commercial: Voici les recommandations de l’ITCEQ

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Une meilleure maîtrise du déficit commercial a caractère structurel implique, nécessairement, la mise en œuvre d’une stratégie de restructuration du secteur exportateur. C’est ce qui ressort d’une note sur “Le déficit commercial en Tunisie : les déterminants structurels et cycliques” publiée par l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ).

Cette stratégie doit être basée “sur une compétitivité hors-prix qui englobe l’innovation, le design, les délais de livraison et le branding (stratégie marketing) du pays”.

Le secteur de l’énergie pointé du doigt

L’ITCEQ rappelle en effet que le déficit commercial de la Tunisie n’a cessé de se dégrader depuis 2006, pour atteindre 19,409 milliards de dinars en 2019, suite, d’une part, à un fort dynamisme des importations, et, d’autre part, au faible rythme d’augmentation des exportations. Ces dernières sont concentrées sur des marchés à faible rythme de croissance et sur des produits moins porteurs, pour lesquels la demande mondiale évolue moins vite.

La détérioration du solde commercial est imputable, en grande partie, au secteur de l’énergie, caractérisé ces dix dernières années, par un déséquilibre entre une demande en ascension et une offre en recul. En effet, la production énergétique a été relativement limitée et les exportations du pétrole brut sont passées de 3,218 milliards de dinars en 2011 à 1,804 milliards de dinars en 2019, alors que la demande d’importation des produits raffinés a plus que doublé pour atteindre 6,416 milliards de dinars en 2019 (contre 3,033 milliards de dinars en 2010).

Privilégier des produits plus spécifiques

La stratégie prônée par l’Institut est de s’orienter vers des produits moins standardisés et plus spécifiques sur le plan qualitatif, d’autant plus que l’image et la qualité des produits sont devenues aujourd’hui, les principaux déterminants de la capacité d’un pays à s’adapter à la demande mondiale et, par conséquent, à améliorer sa compétitivité.

Réduire les bannières douanières

Par ailleurs, “il serait pertinent de réduire les barrières réglementaires à l’activité économique en Tunisie, à travers la poursuite du rapprochement des deux régimes onshore et offshore. Ceci pourrait contribuer à l’amélioration de la compétitivité du régime onshore et à l’élimination du gap avec le régime offshore qui demeure toujours excédentaire, s’accaparant la part la plus importante des exportations”.

Cependant, ces exportations, du fait de leurs destinations géographiques, dépendent énormément de la croissance des pays de l’Union européenne, et toute fluctuation au sein de ces pays, induit une variation relativement forte de nos exportations. Ainsi, mettre le cap vers d’autres marchés et surtout celui de l’Afrique subsaharienne se révèle, selon le rapport de l’ITCEQ, l’une des pistes les plus intéressantes à suivre.

Nécessité d’une stratégie de transition énergétique

Pour faire face à l’aggravation du déficit énergétique et au déclin des ressources d’énergie primaire, “la Tunisie pourrait s’engager de plus en plus dans les nouvelles stratégies de transition énergétique notamment à travers le développement des énergies renouvelables et le renforcement de la production nationale d’électricité. La mise en œuvre de ces stratégies permettrait d’améliorer l’efficacité en matière d’énergie et de réduire la dépendance énergétique du pays qui a atteint 59% en 2019 (contre seulement 5% en 2010)”.

En outre et en vue de ralentir le rythme d’évolution des importations, “il apparaît judicieux de booster l’appareil productif et stimuler l’intégration dans les chaînes de valeur mondiales. Ce qui pourrait contribuer à satisfaire, en partie, la demande en biens incompressibles et à soutenir les investissements dans les secteurs structurellement déficitaires”, a conclu l’ITCEQ.

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